Conglomérat de Chavanne

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Darstellung und Status

Farbe CMYK
(0%,0%,0%,100%)
Rang
lithostratigraphische Einheit
Gebrauch
Element ist in Gebrauch
Status
informeller Begriff

Nomenklatur

Deutsch
Chavanne-Konglomerat
Français
Conglomérat de Chavanne
Italiano
Conglomerato di Chavanne
English
Chavanne Conglomerate
Historische Varianten

brèche houillère de Chavanne (Dhellemmes 1955 pp.86-87), Formation inférieure (Lox & Bellière 1993)

Beschreibung

Mächtigkeit
50 à 70-100 m (Lox & Bellière 1993)

Hierarchie und Abfolge

Paläogeografie und Tektonik

Tektonische Einheit (bzw. Überbegriff)
Herkunftstyp
  • sedimentär
Metamorphose
monozyklisch

Referenzen

Neubearbeitung
Lox A. & Bellière J. (1993) : Le Silésien (Carbonifère supérieur) de Pormenaz (Massif des Aiguilles Rouges): lithologie et tectonique. Eclogae geol. Helv. 86/3, 769-783

p.772: Cette formation, dans la région étudiée, est sujette à des variations latérales marquées. En effet, dans la partie nord et est de la région elle est constituée d'une série de bancs gréseux de teinte grise, puissante d'une cinquantaine de mètres au moins. Ces bancs, d'épaisseurs diverses (0,20 m à 1,50 m) comportent des grès fins (100 à 200 u) à stratification entrecroisée, des grès grossiers (500 >u à 1 mm) et parfois des conglomérats à petits cailloux < 5 cm). Interstratifiées entre ces bancs, on rencontre de fines intercalations d'anthracite écrasées sous forme de lentilles et l'un ou l'autre lit de siltite sombre d'épaisseur métrique. Par contre, dans la partie centrale et méridionale de la région, la formation inférieure comporte: - à sa base un ensemble de bancs massifs, plurimétriques, d'une roche hétérogranulaire, souvent difficile à distinguer du granite altéré sous-jacent; - à sa partie supérieure un ensemble de bancs épais, souvent plurimétriques, d'un conglomérat très grossier (blocs de 15 à 50 cm) dans lesquels s'intercalent des niveaux de grès et de siltite. Les deux profils de la fig. 3, relevés à environ 1 km l'un de l'autre, témoignent des variations latérales très rapides d'épaisseur et de lithologie. Ces variations rendent illusoire toute tentative de corrélation lithologique détaillée entre les divers endroits de la région étudiée.

Cet ensemble grossièrement conglomératique, d'une puissance de 70 à 100 m, a été

interprété antérieurement (Laurent 1968) comme un dépôt Stephanien discordant sur le

Westphalien. Notre levé détaillé de la région montre au contraire qui'il s'agit bien de la

base de la série silésienne, reposant toujours sur le socle cristallin et surmontée par la

formation supérieure, constituée de roches à grain plus fin.

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