Châtel-Kalk

Darstellung und Status

Farbe CMYK
(38%,20%,0%,12%)
Farbe RGB
R: 140 G: 180 B: 225
Rang
lithostratigraphische Einheit
Gebrauch
Element ist in Gebrauch
Status
lokaler Begriff (informell)

Nomenklatur

Deutsch
Châtel-Kalk
Français
Calcaire de Châtel
Italiano
Calcaire di Châtel
English
Châtel Limestone
Herkunft des Namens

Carrière de la Planière à Châtel-St.-Denis (FR)

Historische Varianten

Châtelkalk (Studer 1834, Studer 1872, Rutsch et al. 1966), Châtelkalk = calcaire jurassique de Châtel St Denis = calcaire de Châtel (Renevier 1868), Calcaire compacte et marne à ciment de Châtel-St-Denis (de Girard 1901), Châtel-Kalk = Châtelkalke (Paulcke 1906), Calcaire de Châtel (Behmer 1912)

Komponenten

Fossilien
  • Aptychen

Aptychus punctatus lamellosus

Alter

Alter Top
  • Später Jura
Alter Basis
  • Später Jura

Geografie

Typusregion
Veveyse de Châtel (FR)
Typlokalität
  • La Planière (FR), W Châtel-St-Denis
    Merkmale des Ortes
    • Obergrenze
    • Untergrenze
    • typische Fazies
    Zugänglichkeit des Ortes
    • Steinbruch, Tongrube
    Koordinaten
    • (2559950 / 1153250)
    Notizen
    • Guillaume 1958, Rutsch et al. 1966

Paläogeografie und Tektonik

Herkunftstyp
  • sedimentär

Referenzen

Erstdefinition
Studer B. (1834) : Geologie der westlichen Schweizeralpen. Gross (Heidelberg & Leipzig)
Neubearbeitung
Rutsch R. F., ... (1966) : Alpes suisses et Tessin méridional. Lexique stratigraphique international, vol. 1 Europe, fasc. 7c

CHÂTELKALK (Malm ; Préalpes (Ultrahelvétique))

B. Studer (1834): Geologie der Westlichen Schweizer-Alpen. Heidelberg und Leipzig (Groos).

B. Studer (1834: 369), divise les roches de la chaîne de la Berra (dans laquelle il comprend aussi les terrains mésozoïques des Préalpes externes) en trois unités: Gurnigelsandstein, Châtelkalk et Ralligsandstein.

Il entend par le terme de Châtelkalk (p.374, sqq.) toute la série essentiellement calcaire mais mêlée aussi de schistes dont l'affleurement-type est celui de la carrière de Châtel-St. Denis. Le calcaire est clair a gris-foncé, à cassure conchoïdale. II attribue cette formation au Jurassique moyen (niveau du Coral-rag), p.389, et le parallèlise avec le Stockhornkalk.

En 1872, B. Studer donne une définition plus précise de son Châtelkalk et en fait de l'Oxfordien supérieur ou du Tithonique (p.49). II attribue à ce complexe une puissance de 10 à 100 m.

E. Renevier (1897: 606), attribue le Châtelkalk essentiellement au Séquanien.

V. Gilliéron (1873a), parallélise le terme de Châtelkalk avec son Jurassique supérieur (p.89). Arn. Heim (1920: 290), et E. Gagnebin (1924: 2), parallèlisent également le Châtelkalk avec le Malm des Préalpes externes. Gagnebin y date tous les étages de l’Oxfordien au Portlandien.

II est probable que la désignation originale de Studer comprenait toute la série mésozoïque des Préalpes externes affleurant en Veveyse, c’est-à-dire tout le Malm et également du Crétacé.

Actuellement, le terme de Châtelkalk n'est plus utilisé dans le sens d'une division stratigraphique.

Fossiles: voir les articles sur le Malm des Préalpes externes (calcaire à ciment, etc.).

Localité-type: Carrière de Planière, 1 km E de Châtel-St. Denis (canton de Fribourg), Carte Nat. 1:50.000, F.N. 524 (Rochers de Naye W), coord.: 559.950/153.250.

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