«Couche du Crozot»

Représentation et statut

Couleur CMYK
(0%,0%,0%,100%)
Rang
unité lithostratigraphique
Usage
Ce terme est en usage.
Status
terme local (informel)

Nomenclature

Deutsch
«Crozot-Schicht»
Français
«Couche du Crozot»
Italiano
«Strata del Crozot»
English
«Crozot Bed»
Origine du nom

Le Crozot (NE)

Variantes historiques

Pierre franche (Jaccard 1869), Pierre franche = Couche du Crozot (de Tribolet 1874), Couche de Crozot (Waibel & Burri 1961)

Remarques nomenclatoriales

Représente un faciès bioclastique local du Membre de Ste-Vérène, au sommet de la Formation de Balsthal.

Links

Synonymes

Description

Épaisseur
5-6 m (Waibel & Burri 1961)

Géographie

Région-type
Jura neuchâtelois

Paléogéographie et tectonique

Termes génériques
Type de protolithe
  • sédimentaire

Références

Définition
de Tribolet Maurice-F. (1874) : Notes géologiques et paléontologiques sur le Jura neuchâtelois - III. Note sur le gisement astartien supérieur fossilifère du Crozot (Locle). Bull. Soc. Sci. nat. Neuchâtel 10/1, 15-32

Composé de calcaires blancs à oolites fines parsemées et formé presque en entier par de nombreux fossiles, en majeure partie petits ou par des triturats de fossiles qui rendent souvent la roche plus ou moins poreuse et semblable à certains calcaires d'eau douce de nos contrées. Quelquefois les fossiles disparaissent plus ou moins, les oolites deviennent plus rares et la roche présente un aspect tout-à-fait crayeux. Des concrétions calcaires se trouvent encore dissémineées dans les roches à Côte des oolites; elles sont saccharoïdes et de couleur grise à l'intérieur et ne dépassent jamais un diamètre de 15-20 mm. La couche fossilifère se trouve à peu près au milieu de l'affleurement, intercalée entre les calcaires blanchâtres à oolites moyennes confluantes et des calcaires gris à gros oolites et parsemées.

Révision
Waibel A., Burri F. (1961) : Jura et fossé rhénan - Juragebirge und Rheintalgraben Internat. Strati. Lexikon - Lexique Strati. Internat. I/7a, 314

Crozot (Couche de...) (Malm-Séquanien)

M. DE TRIBOLET (1874): Note sur le gisement astartien supérieur fossilifère du Crozot (Locle). Bull. Soc. Sc. nat. Neuchâtel, 10, 1er cahier, appendice: 15-32.

M. DE TRIBOLET gibt auf Seite 17 folgende Beschreibung: «Composé de calcaires blancs à oolites fines parsemées et formé presque en entier par de nombreux fossiles, en majeure partie petits ou par des triturats de fossiles qui rendent souvent la roche plus ou moins poreuse et semblable à certains calcaires d'eau douce de nos contrées. Quelquefois les fossiles disparaissent plus ou moins, les oolites deviennent plus rares et la roche présente un aspect tout-à-fait crayeux. Des concrétions calcaires se trouvent encore dissémineées dans les roches à Côte des oolites; elles sont saccharoïdes et de couleur grise à l'intérieur et ne dépassent jamais un diamètre de 15-20 mm. La couche fossilifère se trouve à peu près au milieu de l'affleurement, intercalée entre les calcaires blanchâtres à oolites moyennes confluantes et des calcaires gris à gros oolites et parsemées.»

Die Mächtigkeit übersteigt 5-6 m nicht. Diese Ablagerungen, die besser bekannt sind unter dem Namen «Pierre franche» (A. JACCARD, 1869: 195), werden ins Astartien supérieur (= Oberes Séquanien) gestellt. J.B. GREPPIN (1870: 98) parallelisierte sie mit den Verena-Kalken (-Oolithen) von Solothurn, die ebenfalls im oberen Séquanien liegen, was den heutigen Ansichten über das Alter der «Couche de Crozot» entspricht.

Die Typ-Lokalität der «Couche de Crozot» liegt im Neuenburger-Jura zwischen Le Locle und La Chaux-de-Milieu, wenige Schritte vom letzten Haus des Weilers [Le Crozot in Richtung von] «Les Gillottes» bei Pt. 1157 (Koord. 545.620/208.580), in einem alten verfallenen Steinbruch am [Nord!] Südhang des Hügelgebietes von «Le Crozot». Die Bezeichnung «Couche de Crozot» hat keinen Anklang gefunden und wurde von spätem Autoren nicht übernommen. Die Verbreitung der «Couche de Crozot» beschränkt sich auf die Umgebung von Le Crozot.

Fossilien: Fast alle Fosilien lassen deutliche Spuren von Transport erkennen, doch ist vor allem bei den Gastropoden die Ornamentation noch genügend erhalten, um eine Bestimmung zu ermöglichen. Auf den Seiten 24 bis 30 gibt M. DE TRIBOLET eine sehr ausführliche Fossilliste. Literatur: A. JACCARD (1869), M. DE TRIBOLET (1874).

Matériel et divers

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