Corallien rouge

Représentation et statut

Couleur CMYK
N/A
Couleur RGB
R: 125 G: 125 B: 125
Rang
unité lithostratigraphique
Usage
Ce terme est en usage.
Status
terme obsolète (abandonné)

Nomenclature

Deutsch
Corallien rouge
Français
Corallien rouge
Italiano
Corallien rouge
English
Corallien rouge
Variantes historiques
Corallien rouge (Pictet et al. 1858-1860, Waibel & Burri 1961), Corallien rouge de Ste-Croix (de Tribolet 1874c)

Hiérarchie et succession

Limite supérieure
«Couches du Banné» (Kimméridgien)
Limite inférieure
«Couches à Terebratula humeralis» du Séquanien moyen (= Astartien)

Géographie

Localité-type
  • Sainte-Croix (VD)
    Particularités du site
    • typische Fazies
    Coordonnées
    • (2528630 / 1186170)
    Note
    • au niveau de l'église (Waibel & Burri 1961)

Paléogéographie et tectonique

Termes génériques
Type de protolithe
  • sédimentaire
Métamorphisme
non métamorphique

Références

Définition
Pictet F. J., Campiche G. (1858) : Description des fossiles du terrain crétacé des environs de Sainte-Croix. 1ère partie: vertébrés et céphalopodes. Matér. Paléont. suisse 2

C'est une roche qui de loin déjà frappe les regards par sa teinte rougeâtre, et dans laquelle la matière colorante est répartie plus ou moins irrégulièrement en taches ou en veines; la cassure est raboteuse, la structure compacte est souvent oolitique, rarement bréchiforme comme à La Sagne; les oursins (Acroddaris formosa, Glypticus hieroglyphicus, etc.) et les polypiers astréens y abondent et déterminent ainsi un faciès particulier.
Révision
Waibel A., Burri F. (1961) : Jura et fossé rhénan - Juragebirge und Rheintalgraben Internat. Strati. Lexikon - Lexique Strati. Internat. I/7a, 314

Corallien Rouge (Malm-Séquanien) F.J. Pictet, G. Campiche et G. De Tribolet (1858-1860): Description des fossiles du terrain crétacé des environs de Sainte-Croix. Première partie: Description géologique des environs de Sainte-Croix. Mat. pour la paléontologie suisse publiés par F.J. Pictet. Seconde série. Genève, 1858-1860: 13. «C'est une roche qui de loin déjà frappe les regards par sa teinte rougeâtre, et dans laquelle la matière colorante est répartie plus ou moins irrégulièrement en taches ou en veines; la cassure est raboteuse, la structure compacte est souvent oolitique, rarement bréchiforme comme à La Sagne; les oursins (Acroddaris formosa, Glypticus hieroglyphicus, etc.) et les polypiers astréens y abondent et déterminent ainsi un faciès particulier.» Stratigraphisch liegen diese Schichten über den «Couches à Terebratula humeralis» (= Humeralisschichten) des mittleren Séquanien (= Astartien) und werden überlagert von einem Schichtkomplex der auch die «Couches du Banné» des Kimeridgien umschliesst, sodass also das Corallien rouge dem obern, kalkigen Teil des Astartien (= Oberes Séquanien) entspricht. G. Campiche stellte allerdings die Ablagerungen des Corallien rouge ursprünglich ins «Corallien» (= Rauracien), da in der Gorges de Covatannaz, durch die das Tal von Ste. Croix entwässert wird, die gleichen Schichten aus 300 Fuss zum Teil oolithischen, blendend weissen Kalken bestehen, Diceraten und Nerineen umschliessend, so dass G. Campiche annahm, er habe hier den Repräsentanten des «Corallien blanc» (= Oberes Rauracien) des Berner Jura vor sich. Erst durch die Untersuchungsresultate von E. Desor & A. Gressly (1859), die den Bau der Eisenbahnlinien geologisch überwachten, wurde ein guter Einblick in die Stratigraphie des Malms im Neuenburger Jura erhalten, sodass die irrige Altersbestimmung von G. Campiche berichtigt werden konnte. Im Niveau des Corallien rouge liegen auch die «Couche de Crozot», die «Pierre franche» und der Verenakalk und -Oolith. Die Typ-Lokalität des Corallien rouge liegt in Ste. Croix, an der Stelle, wo die Kirche auf dem südlich abtauchenden Kamm dieser Schichten gebaut wurde (Koord. 528.630/186.170). Die Bezeichnung «Corallien rouge» wurde aber bald fallen gelassen, da es sich nur um eine sehr lokale Ausbildung handelt und der Ausdruck Corallien zudem ein unrichtiges stratigraphisches Alter vortäuscht. Die Verbreitung des Corallien rouge ist auf das flache Gewölbe von Ste. Croix beschränkt. An Fossilien erwähnt G. Campiche nur Acroddaris formosa Ag. und Glypticus hieroglyphicus Ag., doch weist das «etc.» darauf hin, dass auch noch andere Formen vorkommen; ferner werden zahlreiche Sternkorallen (Montlivaultia) genannt. Literatur: E. Desor & A. Gressly (1859), A. Jaccard (1869), F.J. Pictet, G. Campiche & G. De Tribolet (1858-1860).
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