«Couches à Cypris»

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Rappresentazione e statuto

Colore CMYK
N/A
Colore RGB
R: 125 G: 125 B: 125
Rango
facies regionale
Uso
Unità in uso.
Status
termine locale (informale)

Nomenclatura

Deutsch
«Cypris-Schichten»
Français
«Couches à Cypris»
Italiano
«Strati a Cypris»
English
«Cypris Beds»
Origine del nome

Nom dérivé de l'abondance des Ostracodes fossiles du genre Cypris.

Varianti storiche

Couches à Cypris (Jaccard 1869), Couches à Cypris = Cypris-Schichten (Waibel & Burri 1961)

Età

Geomorfologia
  • Tortoniano
Età alla base
  • Tortoniano

Geografia

Estensione geografica
Partie centrale à nord-occidentale du vallon du Locle, en particulier aux alentours de la gare.
Regione-tipo
vallon du Locle (NE)
Località-tipo
  • Le Locle (NE)
    Caratteristiche del sito
    • typische Fazies
    Agibilità del sito
    • verschwundener Aufschluss
    Coordinate
    • (2547350 / 1212090)
    Nota
    • dans le secteur de la gare (Jaccard 1869, Waibel & Burri 1961)

Referenze

Definizione
Jaccard Auguste (1869) : Description géologique du Jura vaudois et neuchâtelois. Matér. Carte géol. Suisse 6, 340 pages

p.96: Ailleurs encore, et occupant toujours le même niveau stratigraphique, on voit une variété de couches moins siliceuses, d'un calcaire grisâtre à feuillets très réguliers, d'un à trois centimètres d'épaisseur, dans lequel on distingue à l'oeil nu, une énorme quantité de carapaces de Cypris, de véritables lits, très réguliers, d'une seule variété de Litornelle (L. acuta Drap. sp. Sandb. Pl. VI, fig. 9d, e, f, g) que l'on ne retrouve pas dans les autres couches. De nombreuses aiguilles et des cones de pin (Pinus saturni Ung.), des graines (Carpolites mucronatus Heer, C. parvulus H., Borraginites induratus H.), se rencontrent encore dans les mêmes bancs. Ceux-ci alternent avec des marnes calcaires blanches sans fossiles, ou bien aussi avec des couches d'un calcaire blanc-jaunâtre remarquablement homogène, rappellant les calcaires lithographiques; ils sont épais de 4 à 5 centimètres, et renferment de rares empreintes de feuilles d'une conservation parfaite (Quercus mediterranea Ung., Planera ungeri Ett.) et aussi des grains (Carpolites pumilio Heer).

Revisione
Waibel A., Burri F. (1961) : Jura et fossé rhénan - Juragebirge und Rheintalgraben Internat. Strati. Lexikon - Lexique Strati. Internat. I/7a, 314

Couches à Cypris (Miocän-Tortonien)

A. Jaccard (1869): Description géologique du Jura vaudois et neuchâtelois. Mat. carte géol. Suisse 6: 96-97.

A. Jaccard gibt folgende Beschreibung: «Ailleurs encore, et occupant toujours le même niveau stratigraphique, on voit une variété de couches moins siliceuses, d'un calcaire grisâtre à feuillets très réguliers, d'un à trois centimètres d'épaisseur, dans lequel on distingue à l'oeil nu, une énorme quantité de carapaces de Cypris, de véritables lits, très réguliers, d'une seule variété de Litornelle (L. acuta Drap. sp. Sandb. Pl. VI, fig. 9d, e, f, g} Que l'on ne retrouve pas dans les autres couches. De nombreuses aiguilles et des cones de pin (Pinus saturni Ung.), des graines (Carpolites mucronatus Heer, C. parvulus H., Borraginites induratus H.), se rencontrent encore dans les mêmes bancs. Ceux-ci alternent avec des marnes calcaires blanches sans fossiles, ou bien aussi avec des couches d'un calcaire blanc-jaunâtre remarquablement homogène, rappellant les calcaires lithographiques; ils sont épais de 4 à 5 centimètres, et renferment de rares empreintes de feuilles d'une conservation parfaite (Quercus mediterranea Ung., Planera ungeri Ett.) et aussi des grains (Carpolites pumilio Heer).»

Die «Couches à Cypris» gehören nach A. Jaccard in den obersten Teil der «Formation d'eau douce supérieure du Locle» oder des Oeningien, also zum oberen Mittelmiocän, dem Tortonien. A. Jaccard meldet keine Mächtigkeit dieser Schichten, die er als eine besondere Facies des mittleren und südlichen [sic?] Teiles des Vallon du Locle betrachtet, während die Lignitfacies durch die «Marnes à ossements de la Chaux-de-Fonds» (siehe diese) repräsentiert wird, die sich von Le Crêt du Locle bis nach La Chaux-de-Fonds erstreckt. Im Mainzerbecken liegt nach J.B. Greppin (1867: 140) das Aequivalent der «Couches à Cypris» im Niveau der Littorinellenkalke. A. Jaccard nennt keine Typ-Lokalität für die «Couches à Cypris», doch dürfte dieselbe in der Nähe des Bahnofs von Le Locle liegen und zwar am NW-Hang des Tales, wo A. Jaccard (1869: 96) seine «Formation d'eau douce supérieure du Locle» aufgestellt hat. Der Name für diese Ablagerungen wurde abgeleitet von dem massenhaften Auftreten von Cypris, einem Muschelkrebs. Die Bezeichnung «Couches à Cypris» ist wieder in Vergessenheit geraten. Wie bereits erwähnt wurde, erstreckt sich die «Facies» der Cypris-Schichten auf den mittleren und südlichen [sic?] Teil des Tales von Le Locle; die NE-Grenze liegt bei Le Crêt du Locle, ca. 3.5 km NE des Bahnhofs von Le Locle. Für den Fossilinhalt wird verwiesen auf die Liste von A. Jaccard (1869) S. 97 und 98. Literatur: J. Favre (1911: 418), J.B. Greppin (1867, 1870), A. Jaccard (1869).

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